Une université demande au personnel d’enseigner que la blancheur et l’hétérosexualité sont un problème


Les professeurs d’histoire de l’université de Liverpool ont été invités à « problématiser » la blancheur et l’hétérosexualité dans leurs séminaires. Le Telegraph en parle.

Ce conseil a été donné dans un document d’orientation sur la manière de « diversifier » et de « décoloniser » le programme d’enseignement de l’histoire, envoyé cette semaine aux universitaires de Liverpool, qui fait partie des prestigieuses universités du groupe Russell.

Mais hier soir, les critiques ont fustigé ces recommandations, les qualifiant d’« idéologiquement motivées » et de « source de division ».

Dans le rapport, intitulé « History Curriculum Diversity Audit », le personnel est encouragé à « réfléchir de manière créative » à la façon dont il peut intégrer les questions de race et de genre dans les sujets qu’il enseigne.

En donnant des exemples de la manière dont ils peuvent le faire, le guide leur demande de réfléchir : « Un module qui enseigne exclusivement les relations raciales peut-il faire davantage pour problématiser et décentrer la blancheur ? »

L’« audit de diversité » note également l’absence d’« histoire queer » dans les enseignements sur le genre, tout en soulignant qu’il n’y a pas de séminaires « problématisant l’hétéronormativité » – un terme qui fait référence au fait de considérer l’hétérosexualité comme la norme.

Ailleurs, le rapport indique aux professeurs d’histoire qu’il ne suffit pas d’inclure plus de femmes BAME (Black, Asian and Minority Ethnic) ou de chercheurs non binaires dans leurs listes de lecture.

Il leur est également demandé de discuter de la diversité des listes de lecture avec leurs étudiants pour chaque module enseigné.

Le personnel enseignant est également informé qu’il est « essentiel » de faire de leurs séminaires des « espaces sûrs », car des sujets tels que la race et le sexe peuvent être à la fois « émotionnels » et « difficiles » pour les étudiants.

Par ailleurs, les chefs de département sont invités à mettre en place une formation obligatoire sur « l’enseignement inclusif » pour tous les universitaires afin de les aider à « se sentir plus à l’aise pour entamer et gérer de telles conversations ».

Et nous sommes sur le point d’élire un gouvernement travailliste ! Que Dieu nous vienne en aide.

À lire dans son intégralité.

Lire aussi : Près de 40 % des étudiants de l’université de Brown se disent LGBTQ, contre 14 % en 2010. Veuillez me redire en quoi il ne s’agit pas d’une contagion sociale

Source : The Daily Sceptic – Traduit par Anguille sous roche


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