« Si on pouvait mourir d’ironie, elle serait morte » : Elon Musk clash Liz Warren et la culture Woke dans une interview épique au Babylon Bee


Elon Musk vient de s’asseoir avec les gars du Babylon Bee pour une interview de 54 minutes, où le fondateur de Tesla et SpaceX a attaqué la sénatrice Liz Warren, et décrit la culture woke comme un “virus mental”.

“Tu as été assez méchant avec la sénatrice Warren sur Twitter récemment”, a dit Kyle Mann, le rédacteur en chef du Babylon Bee. “Tu l’as giflée, mec.”

“S’il vous plaît, n’appelez pas le manager pour moi, sénatrice Karen”, a-t-il poursuivi, citant la réponse de Musk, le 14 décembre, à Warren qui lui reprochait de ne pas payer “assez” d’impôts.

Ce à quoi Musk a répondu : “Elle a frappé la première, évidemment. Elle m’a traité de profiteur et d’escroc qui ne paie pas d’impôts, en gros. Or, je paie littéralement le plus d’impôts qu’un individu ait jamais payé dans l’histoire, cette année, jamais. Et elle ne paie pas d’impôts… en fait, pas du tout. Et son salaire est payé par le contribuable, comme moi.”

“Pourriez-vous même utiliser le terme ironie, ça marcherait ?” a demandé un des gars de Babylon Bee.

“Si on pouvait mourir d’ironie, elle serait morte.”

Musk s’est également exprimé sur la culture woke, la qualifiant de “virus de l’esprit” et de “sans doute l’une des plus grandes menaces pour la civilisation moderne”.

“La culture woke veut rendre la comédie illégale”, a poursuivi M. Musk, ajoutant : “Voulons-nous une société sans humour qui soit simplement remplie de condamnations et de haine ? Au fond, la culture woke est source de division, d’exclusion et de haine. Elle donne essentiellement aux gens méchants un bouclier pour être cruels, blindés de fausse vertu.”

Quand on lui a demandé pourquoi Musk n’apparaissait pas sur, disons, CNN, il a répondu : “Je ne suis pas assez pervers ?”, faisant peut-être référence à leur récente épidémie de pédophilie.

Le PDG de Bee, Seth Dillon, a demandé à Musk s’il en avait assez que les gens le harcèlent au sujet de sa richesse, ce à quoi il a répondu que, jusqu’à ce qu’il vende des actions, il conservait relativement peu de liquidités – et qu’il se trouve qu’il possède 20 % d’une entreprise dont les gens ont décidé qu’elle valait un billion de dollars.

Il a également défendu le fait de “ne pas payer d’impôts”, expliquant qu’en 2017, il a payé trop d’impôts, ce qui s’est compensé en 2018, et que, puisque la majorité de sa richesse est de toute façon en actions, il ne subissait pas d’événements imposables.

“Que suis-je censé faire, envoyer des actions au gouvernement, en quelque sorte ?”, a déclaré Musk.

Regardez l’interview complète ci-dessous :

Lire aussi : Sept signes d’alerte indiquant que quelqu’un que vous connaissez est en train de devenir « woke »

Source : Zero Hedge – Traduit par Anguille sous roche


Vous aimerez aussi...

1 réponse

  1. Fab dit :

    Je clashe, tu clashes, il clashe, nous clashons, vous clashez, ils clashent.
    Il s’agit du verbe clasher. Donc, Elon Musk CLASHE Liz Warren.
    Je sais, c’est du franglais mais ça n’est pas une raison pour ne pas respecter l’orthographe .

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *